DANS QUEL CAS CONSULTER ?

 

On peut avoir recours à l’ostéopathie pour de très nombreuses raisons.

Si certains motifs de consultation, comme les douleurs aiguës ou chroniques, sont assez connus du grand public, d’autres le sont beaucoup moins alors qu’ils présentent un grand intérêt. Ils sont présentés ci-dessous.

Il est également possible et conseillé de consulter alors que l’on ne ressent aucune douleur, de manière préventive (2 fois par an), afin de maintenir et d’améliorer sa santé sur le long terme grâce à un travail de fond : c’est selon moi un des intérêts majeurs de l’ostéopathie.

Retenez qu’en ostéopathie, il est quasiment toujours possible de faire quelque chose.

 
 

Les motifs de consultation les plus connus…

  • Douleurs articulaires et musculaires, aiguës ou chroniques : cervicalgies, lombalgies, dorsalgies, tendinites, entorses…

  • Chocs physiques : chutes, accidents, traumatismes crâniens…

  • Maux de têtes, migraines, névralgies faciales, vertiges, acouphènes, troubles ORL chroniques…

  • Remontées acides, troubles du transit, colopathie fonctionnelle, hémorroïde, douleurs intestinales…

  • Règles douloureuses, syndrome préménopausique

  • Enfants et adolescents : douleurs de croissance, accompagnement de soins d’orthodontie, scoliose

  • Douleurs liées à la grossesse, accouchement difficile

  • Nourrissons : déformation du crâne, reflux, torticolis congénital, difficulté à la succion, trouble du transit

… et ceux qui sont moins connus

  • Pour maintenir votre capital santé sur le long terme : consulter en préventif, de manière régulière, 2 fois par an

  • Chocs émotionnels : décès d’un proche, conflit personnel…

  • Stress, angoisses, anxiété

  • Douleurs ou raideurs post chirurgicales

  • Tension entre les omoplates

  • Douleurs sternales ou thoraciques (hors infarctus du myocarde)

  • Sensation de “manquer de souffle”

  • Douleurs bilatérales inexpliquées : “dans les deux” chevilles, genoux, hanches, mains, coudes, épaules…

  • Tout problème pour lequel les examens complémentaires de la médecine conventionnelle (imagerie, biologie,…) n’apportent pas d’explication : l’approche ostéopathique, différente, est susceptible de proposer des solutions